Liberté

Fougueux, d’un tempérament racé, il invite au réveil et à l’envie d’une ballade en solitaire sous les premiers rayon d’un soleil printanier à travers champs pour admirer la nature verdoyante et ses joyaux qu’elle nous offre avec une totale complaisance. Magnifique équidé, il me suffit de plonger le regard dans ses yeux pour y déceler toute l’humanité qui fait défaut en ce monde et sentir que malgré la force de sa musculature, lui, me protégeait. Il est la communion de la vie avec un tout. Il est la plus belle des créatures animales et surtout il est celui qui lors de nos ballades me permet d’oublier tous mes tracas quotidiens. Lorsque je passe ma main sur son museau, que je laisse courir mes doigts dans sa magnifique crinière, je réalise que ces instants de bonheur suspendus n’appartiennent qu’à nous. Portée par le doux déhanchement de son galop, je souris les cheveux au vent, j’embrasse le soleil et la vie. Lui et moi ne faisons qu’un ! Symbole de mon abandon le plus total en sa présence, il s’appelle « Liberté ».

Fougueux, d’un tempérament racé, il invite au réveil et à l’envie d’une ballade en solitaire sous les premiers rayon d’un soleil printanier à travers champs pour admirer la nature verdoyante et ses joyaux qu’elle nous offre avec une totale complaisance.

Magnifique équidé, il me suffit de plonger le regard dans ses yeux pour y déceler toute l’humanité qui fait défaut en ce monde et sentir que malgré la force de sa musculature, lui, me protégeait. Il est la communion de la vie avec un tout. Il est la plus belle des créatures animales et surtout il est celui qui lors de nos ballades me permet d’oublier tous mes tracas quotidiens.

Lorsque je passe ma main sur son museau, que je laisse courir mes doigts dans sa magnifique crinière, je réalise que ces instants de bonheur suspendus n’appartiennent qu’à nous. Portée par le doux déhanchement de son galop, je souris les cheveux au vent, j’embrasse le soleil et la vie.

Lui et moi ne faisons qu’un ! Symbole de mon abandon le plus total en sa présence, il s’appelle « Liberté ».

texte : Alexcina